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« Spectacle de grande prestance artistique, mêlant la féerie et la fantaisie. » L’UNION

« La pièce, jouée avec justesse, humour et fantaisie, a émerveillé le public. Un spectacle qui touche au but : divertissant, surprenant. » LA THIERACHE


Draculéon, le grand combat

de Jean Michel Paris

Mise en scène: Thierry JAHN - Décors et accessoires: Valérie LESORT, Antoine PARIS - Bande son: Thierry JAHN - Lumières: Paco GALAN - Régie: Antoine PARIS - Avec Catherine HAUSEUX, Pétronille de SAINT RAPT, Thierry JAHN, Jean Michel PARIS

Marie est une jeune femme bien étrange qui n’a jamais pu renoncer à ses rêveries enfantines, cherchant ainsi à maintenir vivant un père dont elle attend le retour depuis trop longtemps. Marie refuse de vivre cette vie nouvelle que tente de lui imposer Rose, sa mère, qui veut fuir ses souvenirs. Marie sait bien qu’elle est une orpheline que la barbarie n’a pas épargnée mais elle veut inventer sa vie, elle veut croire encore qu’elle est la fille de Draculéon, personnage fabuleux qui croque la queue de poisson des petites sirènes. Un jour enfin elle découvre dans la rue un homme perdu, sans mémoire, que des passants appellent Draculéon. Et si Amédée était de retour ? "Le grand combat" est une comédie pour un public familial à partir de neuf ans, en même temps qu’un grand coup de gueule dédié aux enfants victimes de guerre. Je veux me convaincre qu’il est possible d’écrire une oeuvre pour le jeune public, où la question de l’engagement politique contre la barbarie des peuples en guerre n’exclut ni la poésie, ni l’humour.
Jean Michel PARIS

Notes de mise en scène

Jean Michel Paris, en maniant la dérision et l’ironie, parle de l’absurdité tragique de la guerre tout en évitant la complainte. Il importe de transmettre toute la fantaisie et la drôlerie du texte, et de garder cette pudeur. Poétique, ce théâtre n’en est pas moins très physique, et sensuel. Le jeu emprunte parfois à la commedia, à la farce. On y trouve également un soupçon de provocation dans des intermèdes surréalistes. Peut être parce que cette histoire se construit sur un mensonge originel, l’espace vrai, réaliste, cède souvent la place au fantastique. Cet univers du conte est amené par les marionnettes, les objets qui s’animent, puis par les personnages eux-mêmes. Propre à cette atmosphère de départ, où s’entassent les préparatifs du déménagement que Rose a entrepris, où tout est sur le point d’être emporté, le décor est composé de volumes, travaillés par la lumière, qui peuvent devenir les éléments d’un plateau de télé lors d’une scène de confession cathodique, ou les fragments d’un pays lointain.
Thierry JAHN

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